Ce que l'on dit sur nous:

"Radix est un spectacle qui se mérite. Le Pandora n'est pas très difficile à trouver, ce n'est peut- être ni le plus petit théatre ni le plus inconfortable de Paris, mais)! se situe au fond d'une cour d'immeuble. Premier obstacle: le répondeur; il est le seul à prendre les réservations. . Rassurez-vous, il transmet très bien les messages et c'est promis: il vous garde une place. Deuxième obstacle, la porte à code: elle est généralement ouverte 20 minutes avant le spectacle, donc si vous êtes à l'heure, aucune raison de paniquer. Troisième obstacle, le couloir. Il est là devant vous, étroit, un peu obscur. N'hésitez pas, marchez vers la lumière, tout droit. Le Pandora, c'est la remise au fond à gauche.
Après ce parcours initiatique, vous voilà prêt à pénétrer dans le monde de Daniil Harms, écrivain russe des années trente, dans cet univers hyperréaliste où tout devient absurde, un peu glauque, drôle et dérangeant, et où aller acheter le pain semble la promesse d'une aventure. Vous y êtes? Le voyage peut commencer. Sur scène, deux guides: un musicien et un comédien. Jean-Carl Feldis est au centre de la scène, armé d'une basse électrique, de jouets, d'un transistor et autres objets étranges. Il offre des bruits, des sons, voire de la musique, sa transcription des textes de Daniil Harms. Autour de lui tourne Olivier Schneider. Il dit et il joue l'histoire d'un homme qui croise une vieille qui porte une pendule. Parfois l'histoire s'arrête et vient un court texte du même auteur, que l'on savoure, en attendant avec impatience de savoir ce que devient la vieille. Ces deux protagonistes sont à l'origine du projet, le bassiste a crit la musique au fur et à mesure que le comédien traduisait les textes. Puis Pierre Lhote les a rejoints. Il orchestre cette rencontre, aide à créer cet équilibre rare au théâtre entre une musique, une voix et un acteur. Cette création collective cesse d'être un projet à trois pour devenir un monde par lequel le spectateur est happé." Marie Carmen de Zaldo, "Le Souffleur", avril/mai 2002 n°27 (p.14)

"Un spectacle remarquable pour son équilibre, son harmonie, qui devient un dialogue, la musique participe vraiment à la dynamique du spectacle (...) des passages hilarants, j'ai ri du début à la fin. Un coup de cœur. (...) Un spectacle que je conseille très très fortement." Philippe Kalman, (Radio Méditerranée émission du jeudi 24 janvier 2002)

"Ces saynetes étaient dans l'ensemble extrêmement bien jouées (..) Des passages de musiques rythmés, interessants, la musique était très bonne, il était judicieux d'utiliser ces instruments, ces sons nouveaux. Très très reussi." Lucien le Vrai(Emission "LA CRUE" du 24 septembre)

"Absurde, onirique peut-être mais aussi angoissé, un univers paranoïaque, pas étroit, pas mesquin, c'est léger." Jehan van Langhenhoven (emission "Ondes de choc" du 28 janvier 2002 sur Radio Libertaire (89.4) - 16h)

"Un tres bon spectacle, qui echappe a la performance d'acteur, une veritable proposition d'un acteur et d'un musicien" Jehan van Langhenhoven (emission de Radio Libertaire du 10 décembre 2001)

"A ne manquer sous aucun pretexte pour ceux qui aiment les auteurs décapants et impossibles, russes de surcroit, et à ceux qui aiment les bruits, les sons, les basses électriques, surtout les inventions et les hasards. Un spectacle né d'une grande simplicité et d'une grande complicité entre ses acteurs."Juliette Barbier de Folie11.comvivial.com

à suivre....

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